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 Word et moi

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Victoire Boulanger


Cet aventurier, c'est
Victoire Boulanger

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MessageSujet: Word et moi   Word et moi EmptyMar 16 Nov - 10:36

Bon je devrais être en train de faire mon explication linéaire mais vous savez ce que c'est, on travaille, on enregistre le devoir et on tombe sur un vieux texte. J'ai envie de les poster ici (chose extrement rare) car j'aime bien le forum et puis...si jamais mon disque s'efface je les retrouve sur internet (mwahahaha quel machiavelisme!).

Les deux ont été écrit pour mon cours de Publication pour ma L.2. Pour le premier le thème était: faire une nouvelle de deux pages reprenant les thèmes proposés. Le prof étant un peu sadique ses thèmes étaient très .... particulier. J'ai choisi "la photo de classe". Pour le second texte il fallait écrire une page ayant pour thème "l'arrivée d'un personnage". Les autres avaient tous fait quelque chose de glauque et sinistre, bien que je me sentes plus à l'aise dans ce registre j'ai essayé de faire un truc plus frais.


La photo de classe



Vous me voyez ? Je suis le premier à droite, au troisième rang. Juste à coté d' Antony Fénelon. Je sais, j'ai l'air un peu gauche. Ne me demander pas pourquoi, je ne sais pas. J'ai toujours été ainsi: hagard, frêle...Il est vrai que la chemise mal boutonnée et les lunettes à grosse monture ce n'est pas très gracieux. Et encore vous n'avez pas vue le pantalon de toile et les grosses chaussures d'hiver, celles qui tiennent chaud même par temps de neige. Enfin, bon, j'ai changé depuis la troisième. Maintenant, je suis plus lumineux. Après tout, je n'avais pas besoin d'être à la pointe de la mode, mes parents n'avaient pas les moyens de toutes façons. Du moment que je ramenais des bonnes notes tout le monde était heureux. Hé! J'étais le premier de la classe! Mais je mentirais si je disais que je n'avais pas désiré être plus attrayant, avoir une petite amie..Un flirt m'aurait suffit. Simplement lui tenir la main, la serrer dans mes bras. Et peut être même lui voler un baiser quand elle tournerait la tête vers moi. Ce que j'aurais aimé l'emmener au parc, regarder avec elle les écureuils voler d'arbres en arbres. Pique-niquer sous un chêne et la faire rire avec mes maladresses. C'est vrai, j'aurais aimé avoir une fille a aimer, courtiser et rendre heureuse. Une fille comme Mélodie Monpez: jolie et intelligente. Mais j'étais jeune, comme vous pouvez le voir. Au collège vous êtes soit intelligent, soit populaire. Je n'ai jamais eu de succès.

Mais maintenant je l'ai Elle. Plus besoin de désirer une Mélodie Monpez, une Jennifer Aniston ou autres femmes...Je l'ai Elle. Elle m'enveloppe de tout son être, elle m'obsède, me fascine. Me plonge dans une volupté que nulle autre ne peut m'offrir. Ses bras enserre mon corps, caresse mon torse...En Elle je me sens bien. Dans une plénitude totale. Elle est toujours là pour moi, je peux venir à n'importe qu'elle heure de la nuit elle sera à ma disposition. Oh, elle est comme toutes les autres: elle a ses jours de colère et ses instants de douceurs. Mais c'est en Elle que j'existe, avec elle que je veux vivre. Et ce pour l'éternité...


Il avait beau être intelligent, être une pupille de la nation qui fera le bonheur de son État, il n'était pas heureux. Il jonglait peut être avec les nombres mais se destinait à une vie de bohème. Lui, ce qu'il aimait, c'était la peinture. Ces toiles aux scènes qui traversent le temps, ces portraits qui vous narguent...il aimait Rambrant et Poussin. Mais personne ne l'aimait. A quoi bon être intelligent, être le favoris des enseignants, si il traversait l' Histoire seul ?

C'est en Elle que j'existe, avec elle que je veux vivre. Et ce pour l'éternité...


De tout les tableaux le plus beau est le Radeau de La Méduse.
Mais pourquoi ses personnages s'accrochent ils avec autant de force au bois ?

Et ce pour l'éternité...

Il se laissa porter par Elle. Ses bras le tirent contre son sein, il l'entend hurler, souffler. Son corps se fit de plus en plus léger, ses cheveux dansent autour de son visage. Il arrive à voir entre les bras fins de sa dulcinée la lumière du passé. Une photo de classe qui remonte vers la lumière. Il profite d' Elle, de cet endroit nouveau qui est maintenant sa demeure. Bientôt le soleil va se coucher et il ne verra plus les algues vertes qui caressent son visage. Dans quelques minutes l'air va lui manquer et il pourra embrasser une dernière fois cette Mer immense. Alors, il sera bien. Définitivement bien.


L'arrivée d'un personnage


Cela faisait des heures, peut être même des jours qu'ils roulaient. Mais quand est ce que cela allait cesser ? Il avait beau être très bien installé, voyager dans le noir n'était jamais agréable ! Et cette étroitesse... C'était vraiment nécessaire ? Tout cet inconfort parce que il fallait qu'il aille en Angleterre, qu'il traverse la frontière en douce pour ne pas être repéré. Tiens, voilà qu'ils s'arrêtent.
Il est où là ? Il ne voyait rien à cause de la nuit, pas même une lune ou une étoile pour l'éclairer. Une nuit noir de celle qui vous enveloppe et menace de détacher ses bêtes sauvages contre vous. Il en aurait frémit si il le pouvait.
Très vite il fut emmené dans un hall immense, tout en pierres blanches, avec des dizaines de panneaux indicateurs qui partaient dans toute les directions. Au centre, un guichet vide où aurait du les attendre un gardien aux dires des grognement de l'homme qui le tenait. L'homme de nuit arriva en les éclairant de sa lampe torche. Il s'excusa de ne pas avoir été là pour les accueillir mais il faisait une ronde. Des banalités furent échangés, pendant ce temps il observa la pièce avec plus d'attention. Outre les panneaux qu'il ne comprenait pas, la pièce était plutôt chaleureuse. Il y avait contre les murs des bancs des coussins en cuir, des fontaines à eau devant chaque porte et même quelque tableaux accrochés au murs, ce qui donnait à l'ensemble un aspect solennel. La conversation devait être finit car l'homme qui le tenait le redressa prestement et suivit le gardien dans un long couloir. Ils passèrent devant des statues, d'autres pancartes; il commençait à deviner où il se trouvait. Ils lui enlevèrent le drap de toile qui le cachait et l'installèrent devant une femme à l'air pincé. Ça y ai. Il savait où il se trouvait...Il avait dirigé un pays, mené une nation et voilà comment il finissait...Il n'avait jamais aimé l'Angleterre, trop froid, trop de mauvais souvenirs aussi. Et il avait eu raison de ne pas aimer ce pays. Il lui rendait bien. Maintenant, à partir de demain des gens viendraient lui rendre visite, en masse. Il devra paraître bien, soigné, sinon il se retrouvera seul...Absolument seul, à prendre la poussière. Être l'un des chef d' État de France le plus connus et se retrouver enfermer de force dans cet prison de souvenirs, c'est d'un risible...Et en Angleterre en plus...Demain matin, dès neuf heures, les gens entreront dans le musée de Madame Tussauds, couloir B, celui des personnalités politiques européennes, ils pourront admirer en face de la figure de cire de Madame Tatcher , le feu général Pétain.


Dernière édition par Victoire Boulanger le Mar 16 Nov - 10:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Word et moi   Word et moi EmptyMar 16 Nov - 10:51

et un dernier poste pour la route (désolée du double poste mais sinon ça va faire vraiment long ^^").

Je ne sais pas pour vous mais j'adore écrire des présentations. Je joue Victoire mais je connais la biographie de tout les gens qui l'ont cotoyé: j'aurais pu aussi bien faire Aliénor, M. de Lonstend... Bref sur un autre forum j'ai écrit une seconde présentation que je n'ai jamais posté (un double compte ça prend du temps). J'adore mon personnage, vraiment il m'éclate toute seule. Je vous fais grâce de la description physique et caractérielle pour vous mettre que l'histoire.

Contexte de MS: dans un futur proche où les hommes ont des pouvoirs (sort, arme ou combat) et où la technologie est devenu reine, des monstres se mettent à envahir nos villes. Pour régler ce problème des écoles d'enfant soldats naissent, mais elles ont toutes un secret...
Je n'explique pas le secret car Dietrich (mon perso) ne sait rien du tout ^^



L'homme d'affaire se lève chaque matin pour faire tourner le pays. Il prend un petit déjeuner en lisant le Times puis va jouer en bourse des milliards qui, en fonction que l'action monte ou descende, changeront la face du monde. L'adolescent qui ne connait pas tout ça rit et s'amuse avec des jeux remplis de pixel, il ne pense pas une seconde qu'autrefois, il y a de cela des siècles, le pixel était encore un rêve. Son chien, innocente créature, a été pervertie. Il lance des boules de feu et se rit des monstres qui peuplent nos campagnes. Le monde a évolué, la terre s'est vue pousser des émetteurs et l'Homme des pouvoirs paranormaux. Et dedans? Il y a encore des gens qui résistent à l'envahissante technologie?


Chapitre un: Le passé est le trésor de l'avenir.


Tel le village gaulois contre les romains une famille résiste à l'évolution. Installée depuis des générations à Engdor, la famille Van Klaus fabrique des jouets qu'ils exportent partout dans le monde pour une poignée de passionnés. Miniatures, cheval à bascule, marionnettes...Tout les classique de l'époque où la technologie était au stade de mythe peuplent la boutique vert pomme de la rue Olga Ponstroch. De père en fils, de mère en fille, tous ont participé à la grande marche de leur entreprise. Résister à la technologie est leur mot d'ordre, Le passé est le trésor de l'avenir leur credo. Si vous poussez la porte de cette boutique une femme rondelette avec un sourire aimable vous guidera d'une voix douce parmi les étagères. En un tour de main elle vous trouvera la figurine qui vous correspond. Ce petit être de bois vous semblera d'une perfection divine, mais jamais il ne prendra vie. Le lendemain vous viendrez acheter de quoi le bichonner, des vêtements...et s'en vous en rendre compte vous dépenserez toute votre fortune dans cet adorable jouet de bois.

« Le passé est le trésor de l'avenir, nous devons le préserver car nous seul savons encore fabriquer ce qui n'existe plus. Pourquoi des jouets? Car ce sont les gages de l'enfance, ils offrent la mélancolie douce aux adultes et le rire aux enfants. Ce sont d'adorables compagnons. »

Mais, me direz vous, comment les Van Klaus peuvent ils vendre leur babioles? C'est un secret de famille mais à toi, jeune lecteur, je vais te le révéler. Mais ne le dit à personne, c'est un secret très lourd à porter. Es-tu prêt?

Il était une fois une femme comme les autres. Elle n'a aucun trait de beauté, elle est même un peu laide, sa personnalité est fade. Mais elle n'est pas malheureuse, elle est juste vide. Elle se sentait comme un verre que personne ne veut remplir, jusqu'au jour sa grand-mère décéda. Ce jour là elle monta au grenier pour y pleurer en toute quiétude, ses larmes tombèrent sur un carton, glissèrent, mouillèrent une poupée en bois qui lui parut pleurer à son tour. Elle prit la poupée, lui essuya les yeux et se sentit moins seule. Agée de quinze ans, Gloria eu honte d'elle: trouver réconfort en une poupée est stupide, indigne d'une adolescente, mais pourtant...Elle la garda, lui parla, et la poupée devint son journal intime. Le temps passa, Gloria décida de consacrer sa vie au bois pour que d'autre personne vide se sente un peu plus remplie. Avec son diplôme de menuiserie elle monta une petite affaire de jouet en bois. Trois ans après sa boutique coula.

Il était une fois un homme prénommé Nikolevitch qui travaillait comme traducteur pour une grande entreprise de téléviseur. Son travail l'amena à gagner énormément d'argent mais aussi à découvrir les magouilles, complots, des grandes entreprises. D'une nature emphatique il ne pouvait pas supporter tout ça mais dans quoi travailler ? Il tomba sur un article de journal traitant d'une « entreprise de jouet qui n'avait pas résisté à la technologie ». A trente ans il démissionna d'une haute place pour investir dans un magasin de jouet.

Les années passèrent, la boutique vivait grâce à l'investissement mais ils savaient tout les deux qu'un jour tout allait s'arrêter. Qu'un jour il n'y aura plus d'argent. C'est là qu'entre en jeu un troisième homme, et une femme aussi. Un couple plus exactement. Mariés depuis leurs dix-huit ans Kolia et Pulchérie Van Klaus étaient d'habiles arnaqueurs. Lui, dès qu'il parlait, on le croyait. Quoi qu'il vous dise vous ne pouvez pas douter de sa parole. Il vous aborde, vous dit qu'il aimerait entrer avec sa femme chez vous pour boire un café, vous acceptez bien sur. La femme vous sourit et vous ordonne d'aller retirer tout votre compte en banque pour lui offrir l'argent ainsi que vos bijoux. Vous acceptez avec joie et quand ils repartent riches comme Crésus la femme vous dit « de ne plus parler de votre vie». Vous ne parlez pas, plus jamais vous ne réussirez à sortir un son, de toute façon vous n'en avez plus envie.

Voilà le début de l'histoire lecteur. La boutique de la rue Olga Ponstroch c'est l'association, il y a de cela des années, d'un homme d'affaire riche qui a fait les contrats, les transactions, d'une femme bonne artisan qui d'un morceau de chêne vous fait une statue, et d'un couple qui peut vous vendre n'importe quoi. Il y a de cela longtemps mais le stratagème fonctionne toujours. Des enfants naissaient de ces deux couples, beaucoup d'enfants, beaucoup d'abandon. Seul les enfants avec des pouvoirs restaient dans la famille, les autres voulaient « quitter cette famille dont ils n'ont aucun souvenirs ». A la mort de Kolia et Pulchérie ce fut Anastasia qui prit le relais. La nuit elle s'infiltrait dans les rêves de ses nombreux amants et leur disait en boucle « achète un jouet de bois à la petite boutique » pour qu'au réveil il n'est qu'une idée en tête....La boutique eu toujours ses quatre moteurs, réincarné par d'autres personnes, et de nombreux employés. Les différents acteurs ont tous un objectif différent: par amour de l'art, pour faire plaisir à l'être aimé, par cupidité, par nonchalance .... Personne ne menti, ni ne trahit le secret. Pourquoi faire? Pourquoi ruiner cette diabolique entreprise qui ne veut que répandre le passé dans notre présent?


Chapitre deux: Dietrich Van Klaus, l'enfant de la dernière génération.


L'histoire se poursuit pendant une dizaine de génération et finit à la notre. L'entreprise à quelque peu évolué depuis ses débuts, elle ne vend toujours que des objets en bois mais ses employés touchent à la technologie. Jamais en excès mais ils s'en servent pour vendre plus, pour se facilité la vie aussi. Ce sont plus des commerçants que des passionnés.
L'artisan principal vient d'avoir des jumeaux. Dietrich et Rodia. Ils ont une enfance normale. Ils vivent dans une superbe maison, vont à la meilleure école de la ville, ils ont des amis...Je ne peux pas vous dire un seul drame. Ils s'entendent à merveille, Dietrich est plus bagarreur et plus malin que son frère, il l'entraine souvent dans des aventures mais jamais il ne met Rodia en danger. Une enfance idyllique. Pendant leur neuvième année leurs pouvoirs se réveillent, ils vont alors être en mesure d'en savoir plus sur l'histoire de la famille, mais uniquement s' ils en sont dignes. La tradition n'a pas changé sur ce point. Rodia, qui avait toujours été le plus mignon des deux, fit tomber amoureux de lui toute les filles de la classe. Cela n'étonnait personne: ce gamin est tellement beau! Sauf que l'amour que les filles lui portaient était très excessif, elles se disputaient et l'une d'entre elle en frappa une autre pour s'assoir à coté de lui. Son professeur comprit très vite ce qui se passait et prévint les parents: en grandissant Rodia allait certainement pouvoir faire tomber amoureux de lui quiconque le croise. Peut être son pouvoir s'étendra...Toute la famille Van Klaus se réjouit de la nouvelle mais ne s'en étonna pas: il était tellement parfait ce gamin! Dietrich était si heureux pour son frère! La famille entière est heureuse! Et elle resta heureuse pendant des mois, oubliant que le second enfant n'a pas développer son pouvoir.
Un jour il cassa son jouet préféré et toute la famille fut malheureuse. Ce genre de scène se répéta souvent jusqu'au retour d'un oncle éloigné qui était chargé de la surveillance dans une des filiales Van Klaus. Sa simple présence suffit à annuler tout les pouvoirs ou invocation des gens qui sont dans la même pièce que lui, aussi dès qu'il entra plus personne n'était malheureux pour Dietrich. Les gens se regardaient avec étonnement: Pourquoi ais-jeu pleuré pour un jouet ? Son premier pouvoir sauta aux yeux de tout le monde: Il peut donner aux autres n'importe quelle émotion. Intrigués par une telle capacité il gardèrent Dietrich dans la famille, mais il faut l'avouer, il resta surtout parce que son frère le voulait et qui dirait non à un enfant aussi mignon?

Ils firent leur scolarité comme tout les enfants: inscris à dix ans dans une école de soldat, ils n'y sont cependant pas pensionnaire. Le soir ils rentrent chez eux pour rester dans l'ambiance de la famille Van Klaus afin d'éviter toute trahison. Attention! Ils doivent étudier à l'école car les Van Klaus n'acceptent pas les feignants. Tout se déroulait comme il fallait pour les deux garçons. Rodia développa son don d'affection jusqu'à avoir la capacité de manipuler les gens par son discours. A son entrée au lycée il fut le chef de l'école, un véritable monarque au notes excellentes (car qu'il travaille ou pas les professeurs lui mettaient de bonnes notes) à qui tout sourit malgré des mésaventures anecdotiques. Son frère n'eut pas le même parcours mais c'était sensiblement la même chose.

_ Mais fait moi une boule de feu Vladimir!
_J'arrive pas à faire plus gros m'sieur!
_Et ben réessaie! T'es pyrotélékinésiste ou un briquet bon sang ?!
_ Allez Vlad fait tout cramer!
_Aaaaaaaaaaaaaaah ça brule! Ca brule! Appelez les pompiers!!
_ VAN KLAUS! Qu'as tu encore fait ?!!

Sa seconde capacité fut activée pendant le cours: Avec des mots ils peut augmenter les capacités des gens. Il eu énormément de mal à contrôler ce pouvoir car il utilisait des mots trop puissant. Finalement avec du temps il réussit à trouver les bons mots pour chaque situations. Un pouvoir intéressant qui lui permit de faire quelque missions. Dietrich essaya de le faire sur lui même mais cela ne fonctionne pas, de même que son ami Vladimir apprit à ses dépend que les effets créés par Dietrich ne dure pas plus de une heure.


Chapitre trois: Départ pour Oebal.


Nos deux frères sont en terminal, l'année se déroule bien pour Rodia et Dietrich. Ils savent que c'est leur dernière année d'étude avant de vivre exclusivement dans le cercle Van Klaus. D'un naturel bon vivant ils ont envie de continuer à profiter de la vie jusqu'à ce que les responsabilités les immobilises. Rodia deviendra un « ramasseur » (soit ceux qui font venir et acheter les clients) et Dietrich un « actionnaire » ce qui correspond à faire des contrats pour maintenir l'économie de l'entreprise Van Klaus.
Pour profiter de leur dernière année ils s'inscrivirent pour un voyage d'étude, une sorte d' Erasmus du futur, pour le pays d'Oebal. La famille ne s'opposa pas au voyage car ils ont toujours montrés leur loyauté envers le clan et puis Dietrich a souvent émit le souhait que plus tard il dirigerait une filiale étrangère, visiter Oebal peut donc lui être instructif. Ils réservèrent les billets des mois à l'avance pour être sure d'avoir une place, Firent leurs bagages et peaufinèrent leur maitrise de la langue de Oebal. Le jour J Dietrich prit un taxi, seul, pour l'aéroport. Quand il arriva il ne vit pas Rodia: il est surement déjà dans le sas d'embarquement se dit – il. Il y alla mais ne le vit pas, d'ailleurs il ne vit pas Rodia dans l'avion. Heu Rodia? Son frère avait loupé son avion.
Mais pourquoi donc Rodia n'est pas partit avec son jumeau? C'était un voyage ensemble, un truc de famille. Alors pourquoi cette absence? Tout s'explique par leur troisième pouvoirs. Un don passif que Rodia maudit chaque jour. Comme tu as du le voir lecteur Dietrich a eu la belle vie. Sa famille l'aime, son frère l'aime, il a de bonnes notes et aucun drame n'a été écrit dans cette biographie. C'est tout simplement grâce à la chance. Dietrich a une chance incroyable et la probabilité qu'il rate son avion était donc de 0,1 %. A l'inverse Rodia a lui une malchance pas possible. Il a mit son réveil trois heures avant de prendre le taxi, il a même mit en marche le réveil du téléphone de sa petite – amie (étant avec elle il n'a pas dormit chez ses parents). Mais le portable ne s'est pas allumé car il n'avait plus de batterie et son réveil a finit ses piles pendant la nuit. Quand il se réveilla il pouvait encore l'attraper, de justesse mais c'était faisable. Il a même prit le taxi mais c'était sans compter sur une manifestation de travailleurs exploités. Rodia n'a vraiment pas de chance.

Voilà lecteur, tu sais tout de la famille Van Klaus et des raisons de la présence de l'un d'entre eux dans ton école. Il y a encore un secret que tu ignores, un secret qui concerne Dietrich, mais je ne te le dirais pas. Ce ne serait pas drôle sinon.

Pouvoirs:

1/ Contrôle des émotions par la parole. Dietrich peut vous calmer, vous rendre heureux...Il vous offre la palette d'émotion que vous commandez. Les effets ne durent pas plus d'une journée et plus l'émotion est forte (comme un sentiment amoureux ou de la haine) plus il a de chance d'échouer. Par échouer je veux dire qu'il risque de vous donner une émotion qui n'a aucun rapport avec celle qu'il voulait à la base. Par exemple si il demande à une fille d'être éperdument amoureuse de lui il risque de la rendre furieuse pour le reste de la journée.

2/ Amélioration des capacités par la parole. Ce pouvoir est très nuancé, il améliore les capacités des gens en lui parlant à l'affirmative, mais il doit faire attention aux mots qu'il emploie. Ainsi si il dit « tu as la force d'un taureau! » la personne verra sa force brute augmenter considérablement. Alors que si il dit « tu as deux fois plus de force » le destinataire trouvera que sa force physique sera beaucoup plus forte mais elle sera plus faible que si il avait dit la phrase de l'exemple précédent. Il ne peut augmenter que le potentiel physique, ainsi il ne vous rendra pas meilleur peintre. Et l'amélioration du potentiel physique ne veut pas dire que le destinataire maitrise ses nouvelles capacités. Ainsi il a augmenté le pouvoir d'invocation de feu de Vladimir mais ce dernier ne se contrôlant plus à fait bruler toute la zone de mission.
Cette capacité, comme celle des émotions, ne peut pas être appliquée sur lui même et il ne dure qu'une heure.

3/ Une chance inouïe. La chance de Dietrich est passive, c'est à dire qu'il ne la contrôle pas du tout, elle est là point. Sa chance ne fonctionne que sur son quotidien, soit elle ne réalise pas les souhaits de Dietrich et ne produit aucun élément invraisemblable: c'est juste une amélioration de la réalité. Ainsi si Dietrich va à la cafétéria et qu'il veut manger des frites, il y aura des frites au déjeuner. Mais si il se balade dans une zone rempli de monstre il se fera attaquer comme tout promeneur. On pourrait dire que sa chance c'est surtout une question de probabilité.
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